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29/06/2023

TRANSGRESSION, VOYAGES DU CAMP DU "BIEN" VERS LE CAMP DU "MAL"

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Ils étaient trotskistes. L’un, Pierre Cassen, à la Ligue communiste révolutionnaire (LCR), l’autre, Bernard Germain, à l’Organisation communiste internationaliste (OCI). Ils sont aujourd’hui dans le camp du « mal », le camp national et identitaire.

Ils ont donc transgressé tous les interdits de la gauche et des bien-pensants pour parcourir ce chemin qui les a conduits de la gauche à la droite.

C’est parce qu’ils ont accepté de s’ouvrir aux arguments du camp d’en face, parce qu’ils ont refusé de rejeter par principe les opinions des autres, qu’ils ont pu étudier de manière critique les arguments et contre-arguments du débat.

Aujourd’hui, une multitude de gens s’autocensurent, s’interdisent de réfléchir et de confronter les points de vue. Terrorisés de se voir affublés des qualificatifs de « raciste » ou « extrême droite ».

Ce faisant, ils acceptent de s’enfermer dans une prison idéologique d’où est bannie toute réflexion critique et tout véritable débat. Ces gens sont en fait des victimes du totalitarisme intellectuel ambiant.

Si seulement ils osaient étudier les problèmes sans se contenter de réciter la messe des bien-pensants, ils vivraient sans doute une évolution de leurs certitudes vers une véritable opinion.

Au travers de nombreux sujets Pierre Cassen et Bernard Germain exposent leurs opinions, expliquent pourquoi ils ont changé et interpellent les membres du camp du « bien » en les invitant à répondre à de nombreuses questions.

Un livre important pour qui veut retrouver sa liberté de pensée et pouvoir se faire sa propre opinion sans se soucier du qu’en dira-t-on ou de la peur d’être diabolisé par les geôliers de la pensée.

Préface de Jean-Yves Le Gallou

Avec des témoignages de :

Hugue Bouchu, délégué des Amis franciliens de Synthèse nationale, Santiago Cartagena, ancien militant communiste chilien, aujourd’hui membre de Vox (parti national espagnol), Gérard Delépine, chirurgien, Patrick Gofman, écrivain et essayiste, Pascal Hilout, apostat, Patrick Loiseau, écrivain, Lucien Samir Oulahbib, universitaire, docteur en sociologie.

Transgression, voyages du camp du "mal" vers le camp du "bien", Pierre Cassen et Bernard Germain, + 9 témoignages, préface de Jen-Yves Le Gallou, Synthèse nationale, collection "Idées", 224 pages, 22,00 € i

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"VICTOR HUGO, ERIC ZEMMOUR" DE EVE ARTIO

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On reproche à Éric Zemmour d’être « brutal » et radical. J’ai voulu comparer son discours à celui de Victor Hugo quand il luttait contre le retour à l’enseignement des religieux à l’école. Il a même du s’exiler après avoir été accusé « d’appel au meurtre et à l’assassinat » lors de la prise de pouvoir « abusive » de Louis Napoléon. Éric Zemmour, lui, est accusé d’incitation à la haine raciale parce qu’il dénonce les violences factuelles liées à l’immigration de masse, la non-assimilation des immigrés musulmans, et qu’il ose rappeler les fondements de notre Laïcité originelle, dévoyée par l’islamo-gauchisme.

Ce livre invite à comprendre l’esprit Français face à la religion, car la séparation de l’Église et de l’État ne consistait pas uniquement à placer la religion en dehors de la sphère publique, mais à éduquer les peuples à adopter une religion discrète, une foi intérieure, pour éviter le séparatisme et les obstacles au fameux “vivre ensemble”. Ce livre s’adresse à tous ceux qui ne comprennent pas « la résistance » à l’islamisation de la France, l’esprit fondamentaliste (clérical) que dénonçait Victor Hugo à son époque. La Laïcité permettait de conférer aux croyances une place autorisée tant qu’elles ne troubleraient pas l’ordre public de la France. Cependant, dans son contexte, elle ne concernait pas l’islam, mais les religions chrétiennes. Trahi par la majorité des journalistes, Éric Zemmour a deux fois été évincé, lui qui espérait faire réagir le peuple et sauver la France de cette politique mondialiste collaboratrice avec un islam conquérant : campagne politique en faveur du voile pour toutes, mosquées qui fleurissent, guide pour une nouvelle façon de parler, celle d’effacer notre identité, label halal et son séparatisme entre “purs” et “impurs”.

Pour Zemmour, à la présidentielle comme aux législatives, le combat était perdu d’avance… L’étiquette d’extrême droite, abus de langage utilisé par la presse, fait toujours aussi peur. Ce livre décrit tous les processus qui permettent d’affirmer que si Victor Hugo était vivant aujourd’hui, il serait lui aussi, traîné dans la boue et stigmatisé par les nouveaux inquisiteurs, les journalistes soumis à l’islamo-gauchisme, car il ne tolérerait aucun compromis.

L’auteure

Eve Artio est enseignante et a été candidate aux Législatives 2022 pour le parti Reconquête. Diplômée en Sciences de l’information et de la communication, elle s’intéresse à tous les sujets qui concernent les dérives sectaires et religieuses. Un parcours humanitaire dans son giron, elle décrit aussi ses changements de route, quand elle découvre le programme de l’ICESCO, qu’elle dénonce dans ses livres Carnet de Voyage d’une inconnue en Palestine, et Le statut de la femme dans les religions du Livre. Constatant, elle aussi, le changement de paysage de la France et la volonté programmée de colonisation de l’islam depuis près de quarante ans, elle décide de suivre Éric Zemmour quand il se lance dans les présidentielles, quitte à endosser, elle aussi, le poids d’avoir le courage d’être injustement stigmatisée et traitée de « raciste ». Tous les résistants ne sont pas reconnus quand l’ennemi est en odeur de « sainteté » ! Mais elle s’inquiète aussi pour l’environnement et la dégradation de la planète, pour les jeunes et leur culture. Elle s’inquiète de la tendance au totalitarisme politique et à la discréditation systématique des opposants au système mondialiste. Elle lutte de toutes ses forces contre la perte des libertés des peuples en tant que nation.

Victor Hugo, Éric Zemmour, Eve Artio, Synthèse nationale, Collection “Idées”, 246 pages, 23,00 Euros (+ 6,00 Euros de port)

Sortie le 23 mai 2023

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UNE ÉDITION ESPAGNOLE DE NOTRE LIVRE "RÉFLEXIONS POUR UN NOUVEAU CORPORATISME"

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Nos amis d'Alicante des éditions EAS viennent de sortir la version traduite en espagnol du livre "Réflexions pour un nouveau corporatisme", réalisé sous la direction de Georges Feltin-Tracol, que nous avions édité en mai 2020. 

Pour acheter la version espagnole cliquez ici

et l'original en français cliquez là

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10:36 Publié dans Livre | Lien permanent |  Facebook |

RÉÉDITION (ET ACTUALISATION) DU LIVRE "CALLAC LA MÈRE DES BATAILLES"

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Le n°25 de la collection "Les Cahiers d'Histoire du nationalisme" consacré à la droite identitaire américaine

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Cette histoire, écrite par Rémi Tremblay, est racontée en trois volumes. Le premier est sorti le 30 mars prochain.

 

Une grande Histoire méconnue en Europe

Rémi Tremblay

Pourquoi cette histoire de la mouvance identitaire blanche aux États-Unis en trois tomes ?

Tout d’abord, parce que fort peu de livres traitent de ce sujet, tant en français qu’en anglais. Des monographies ont été consacrées à certains personnages ou organisations de cette mouvance, mais rien abordant le sujet de façon globale n’a jusqu’à présent été publié en français, hormis l’ouvrage de François Duprat et d’Alain Renault sur les fascismes américains [en vente sur ce site], qui se termine en 1945.

De plus, contrairement aux autres auteurs francophones qui se sont penchés sur la question, je suis allé aux sources premières, ce qui m’était facilité par mon réseau de contacts et par le fait que j’habite moi-même en Amérique du Nord, tout près du pays étudié, que j’ai visité à d’innombrables reprises.

Pour documenter le présent travail, j’ai ainsi eu un accès direct aux œuvres publiées par les mouvements des nationalistes blancs américains : j’ai lu leurs manifestes, leurs œuvres de fiction, leur propre version de leur histoire, ainsi que des milliers de pages de revues et de journaux, datant aussi bien du siècle dernier que des dernières décennies. À cela s’ajoute l’examen des rapports du Federal Bureau of Investigation (FBI) et de rapports de police, des sources souvent négligées, quoique souvent très précises et très instructives.

Contribue aussi à l’originalité du présent travail le fait qu’un très grand nombre de participants directs ont accepté de se confier dans des entrevues durant parfois plusieurs heures. Ils me décrivirent leur perspective, m’orientèrent vers certaines lectures, me confièrent des anecdotes inédites et me remirent à l’occasion des documents introuvables. J’ai ainsi eu l’aide inestimable de nombreuses personnes que je tiens à remercier, tels Ed Fields, David Duke, Kirk Lyons, Gerhard Lauck, Martin Kerr, Frank Collins, H.A. Khoeler, Mike Hallimore, William Williams, Billy Roper, Karl Hand, Henry, Sorcier impérial de l’Église du Ku Klux Klan, James Mason, Dennis Mahon, Charles Barbee, Richard Scutari et de nombreux autres acteurs de cette histoire, par exemple des pasteurs de l’identité chrétienne, des militants néonazis, des activistes de l’Alt-Right ou de la mouvance nationaliste blanche, ainsi que des adeptes du Klan. Tous acceptèrent de collaborer avec ce journaliste étranger qui écrivait un livre sur leur histoire.

Le fait que je contribue également à plusieurs médias américains plus ou moins liés à la mouvance nationaliste blanche m’a permis d’adopter une perspective différente, un point de vue de l’intérieur plutôt que de l’extérieur. En effet, de nombreuses personnes mentionnées dans le présent ouvrage sont des personnes avec qui j’ai eu l’occasion de collaborer.

Plusieurs de ces acteurs sont aujourd’hui décédés.

Le présent livre se divise en quatre parties. Une section introductive s’efforce de définir les contours du sujet abordé dans le livre, à savoir ce qu’il faut entendre par des expressions comme mouvance racialiste blanche ou nationalisme blanc. Par la suite, un premier tome aborde la période débutant avec l’indépendance américaine et se terminant avec la fin de la Seconde Guerre mondiale qui chamboula le paysage politique américain et ouvrit la porte à la déségrégation. Le lecteur pointilleux constatera peut-être que certains mouvements importants, comme celui l’Identité chrétienne, ne sont pas mentionnés dans le premier tome, mais il ne s’agit pas d’oublis. Dans certains cas, pour mieux cerner l’évolution dans le temps de certains groupes, il est apparu préférable de les traiter dans les tomes subséquents et de décrire leur genèse au moyen de retours dans le temps.

Les tomes deux et trois traiteront la période allant du début des années 1945 jusqu’à aujourd’hui de façon thématique. Seront ainsi traités, dans le tome 2, les mouvements blancs ayant une approche plus traditionnaliste, selon laquelle la défense de la race se combinait avec des préoccupations pour la Constitution, la religion ou la liberté.

Dans le tome 3 on se penchera sur les groupes pour lesquels la position racialiste se mariait avec une approche révolutionnaire. La ligne est parfois mince entre les deux catégories et un tel classement thématique pourra apparaître fort subjectif, d’autant plus qu’il existait une grande porosité entre les mouvements des deux catégories et que des périodes de convergence ont souvent estompé les différences.

Certains, qui ne liront probablement pas ce livre, le taxeront d’apologie du racialisme. Les autres, vous chers lecteurs, y verrez l’histoire rarement racontée avec objectivité d’une mouvance qui marqua et marque l’histoire de l’Amérique.

L’auteur : Rémi Tremblay

Militant politique, historien et journaliste engagé, Rémi Tremblay est avant tout un patriote québécois. Il fait d’ailleurs partie de la direction du Harfang, le bimestriel de la Fédération des Québécois de souches.

Nous lui devons déjà deux Cahiers d’Histoire du national­isme. L'un consacré à Adrien Arcand (n°12 -  cliquez ici) en 2017 et au fascisme canadien et un autre à Oswald Mosley, et aux fascistes britanniques (n°14 - cliquez là) en, 2018.

En France, il donne aussi régulièrement des articles dans le quotidien Pré­sent et dans la revue Synthèse nationale.

États-Unis, la mouvance identitaire blanche (1er volume, de l'indépendance à 1945), Rémi Tremblay, sortie 30 mars 2023, 190 pages, 24,00 € (+ 6,00 € de port).

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Deux nouveaux titres entrent dans la collection des Grands Classiques de Synthèse nationale

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Pour bien comprendre un texte et, éventuellement, l’apprécier ou le condamner, il convient toujours de se remettre dans le contexte de l’époque où il a été écrit.

Jacques Doriot, natif de Bresle dans l’Oise en 1898, fut un personnage primordial de la vie politique française au cours de la première moitié du XXe siècle. À l’âge de 25 ans, au lendemain de la Première Guerre mondiale, il est déjà l’un des hauts-responsables du Pati communiste français. En 1924, il est élu député communiste de la Seine et en 1931, il emporte la mairie de Saint-Denis. Cependant, au début des années 1930, il entre en opposition, au sein du PC”F”, avec la ligne imposée par Moscou et incarnée par Maurice Thorez. Cette opposition le conduira à la rupture en 1935 et, quelques mois plus tard, à créer le Parti populaire français qui incarnera, jusqu’à la mort de Doriot en 1945, le principal parti d’inspiration fasciste en France.

Rappelons que l’entre-deux-guerres fut marqué par l’émergence en Europe de plusieurs révolutions reposant sur une double volonté d’indépendance nationale et d’émancipation sociale. Ainsi, en Italie, puis en Allemagne et dans d’autres pays, ces expériences concluantes dans un premier temps séduisent de plus en plus en Europe et en France particulièrement. Jacques Doriot se situe désormais dans cette perspective, il a expliqué pourquoi dans ses deux ouvrages fondamentaux que sont “La France ne sera pas un pays d’esclaves” et “Refaire la France”. Paru successivement en 1936 et en 1938 chez Grasset, réédités il y a quelques années par les Éditions de l’AEncre, ils entrent aujourd’hui dans la collection des Grands classiques de Synthèse nationale.

Sortie : le 2 mars 2023

Pour les commander dès maintenant :

La France ne sera pas un pays d'esclaves, 180 pages, 22 € cliquez ici

Refaire la France132 pages, 20 € cliquez là 

La collection Les Grands Classiques de SN cliquez ici